Une retraitée handicapée privée de caddie électrique, jugé trop dangereux
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Une retraitée handicapée privée de caddie électrique, jugé trop dangereux
Angleterre - Le personnel d'un magasin interdit à une dame âgée d'utiliser les caddies pour personnes à mobilité réduite sur le parking, arguant que c'est trop dangereux.
Jean Pollit, 66 ans, souffre d’une maladie l’obligeant à se déplacer en fauteuil roulant. Depuis 9 ans, elle fait ses courses dans le même magasin, qui met à disposition des caddies électriques. Elle est aujourd’hui contrainte de changer d'enseigne car la direction a décrété que les engins ne pouvaient plus sortir du magasin, les jugeant dangereux.
L’un des porte-parole du groupe Asda a déclaré la sécurité des clients et des employés d’une importance capitale, ce qui passe pour eux par une utilisation de ces engins exclusivement à l'intérieur du magasin. Dans ce contexte, les époux Pollit n’ont d’autre alternative que de se trouver un autre magasin ayant un accès plus simple, car cette contrainte complique fortement leurs déplacements une fois les courses faites.
Madame Pollit, qui a pu s’exprimer sur le sujet, a déclaré cette pratique discriminatoire et s’est dit humiliée. Son époux ne comprend pas davantage cette décision. Selon le porte-parole, le couple s’était vu proposer la gratuité des services de livraison à domicile vu la particularité de la situation mais aucun compromis n’a pu être trouvé.
Jean Pollit, 66 ans, souffre d’une maladie l’obligeant à se déplacer en fauteuil roulant. Depuis 9 ans, elle fait ses courses dans le même magasin, qui met à disposition des caddies électriques. Elle est aujourd’hui contrainte de changer d'enseigne car la direction a décrété que les engins ne pouvaient plus sortir du magasin, les jugeant dangereux.
L’un des porte-parole du groupe Asda a déclaré la sécurité des clients et des employés d’une importance capitale, ce qui passe pour eux par une utilisation de ces engins exclusivement à l'intérieur du magasin. Dans ce contexte, les époux Pollit n’ont d’autre alternative que de se trouver un autre magasin ayant un accès plus simple, car cette contrainte complique fortement leurs déplacements une fois les courses faites.
Madame Pollit, qui a pu s’exprimer sur le sujet, a déclaré cette pratique discriminatoire et s’est dit humiliée. Son époux ne comprend pas davantage cette décision. Selon le porte-parole, le couple s’était vu proposer la gratuité des services de livraison à domicile vu la particularité de la situation mais aucun compromis n’a pu être trouvé.
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